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Les étapes de la croissance économiques de W.W.ROSTOW


De la société traditionnelle marquée par le sous-développement, à la  société de consommation de masse, W .W.Rostow décrit les cinq grandes étapes de la croissance économique.
A considérer le degré de développement de l’économie, on peut dire que toutes les sociétés qu’elles passent par l’une des cinq phases suivantes : la société traditionnelle , les conditions préalables au démarrage, le démarrage, la marche vers la maturité, l'ère de la consommation.

Les Fluctuations cycliques dans l’économie :


L’activité économique suit une évolution irrégulière, faite de ruptures dans le rythme de la croissance, ponctuée par des crises, parfois suivies de périodes d’instabilité économique et sociale. Depuis le XIXe siècle, des auteurs ont cherché à découvrir des lois d’évolution, en s’intéressant aux cycles économiques.
Les  économistes ont crée un vocabulaire est des modèles d’analyse appropriés :

Fluctuations économiques et rôle de l’Etat :

La croissance économique est caractérisée par des ruptures de rythme, des fluctuations, des crises, dont les conséquences économiques et sociales justifient une intervention de l’Etat. Les gouvernements n’ont jamais été insensibles aux crises, ils ont toujours cherché à atténuer leurs effets en agissant grâce aux instruments de politique économique visant à réguler l’activité. Par la politique budgétaire, il est possible d’influencer la reprise de l’activité. Par la politique monétaire, le crédit et les prix peuvent être réorientés.

V- l’analyse Mathématique(Les Modèles)



Jadis, les mécanismes économiques étaient généralement décrits en termes littéraires. Aujourd’hui au contraire, ils sont le plus souvent exprimés mathématiquement, ce qui confère au raisonnement économique un caractère plus rigoureux. Plus précisément, l’analyse économique actuelle tend à être effectuée sous forme de modèles.

Analyse marginaliste :


Lorsque l’on analyse un mouvement économique de courte période, on peut mettre en évidence les accroissements successifs, ou les diminutions successives, de chaque grandeur, et confronter les valeurs absolues de ces variations. Si on le fait, on procède à une analyse dite marginaliste, car on se réfère aux marges qui existent  entre les  grandeurs, c’est-à-dire à leurs intervalles. Lorsque l’on utilise les mathématiques, et que l’on admet l’hypothèse simplificatrice de la continuité des fonctions,